Réunion [Malyssia]

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Altrearosa marchait dans les rues de la capital en direction du grand palais elfique, elle ne savait pourquoi mais la reine l'avais fait mander, en plus de ce statut royal elle dirigeait la caste druidique comme le roi aujourd'hui porté disparut dirigeait l'armée plus conventionnelle. Les gardes lui ouvrir les portes une par une en voyant ce convocation, souvent en esquissant l'un de ces sourires si imperceptible des personnes non habitué à cette tradition elfique de ne pas trop montrer ses sentiments de manière physique. Elle arriva enfin devant cette grande salle du trône où la reine était censé l'attendre, impatiente ou pas, mais du moins pour une raison que elle seule connaissait. Elle regarda les 4 gardes ouvrir la lourde porte et s'engagea sans hésitation.

Malyssia était assie sur son trône, comme a son habitude d'ailleur. En ce moment, elle se sentait fortement seule mais jamais elle ne le laissait parraitre. De plus à quoi cela servirait de montrer comment elle se sentait, puisque de tout évidence sa la rendrait faible au yeux des autres. La jeune femme sourie en regardant dehors, les oiseau chataient joyeusement en cette belle journée.
Peut ête que celle qu'elle avait demander pouvait remplacer son tendre amour à ce jour disparu, sur le plan de l'armé... Même si elle savait bien que personne ne pourrait jamais le remplacer...

Malyssia se tourna vers la porte qui venait de s'ouvrire. Enfin elle arrivait, elle ne l'avait jamais encore vut celle la mais peu importe... Elle devait se faire confiance à elle même pour pouvoir mettre quelqu'un au rang qui c'était libéré avec tristesse.

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Altrearosa se dirigea d'une démarche gracieuse et souple vers le trône, s'arrêtant au pied des marches devant la reine pour se prosterner. Elle n'aimait pas cette coutume, éduqué é la manière druidique, en respect de toute chose vivante. Elle parla de manière clair de sa voix chantante.

- Ma Dame m'a fait mander?

Malyssia lui sourit. Cette jeune femme ne semblait pas savoir ce qu'elle lui voulait... Dasn ce cas c'était surment un bien. Cela voulait peut être dire même qu'elle pouvait être imprévisible? Peut être...

"Oui je vous est fait demandez, savez vous pourquoi? Ou avez vous simplement une petit idée?"

Malyssia releva doucement la tête, tout en ne la quittant pas des yeux.

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Voilà maintenant que la reine lui posait des questions, elle n'aimait pas ce petit jeu, virevolter avant de tomber, ou tourner autour du pot comme disait les humains, mais si telle était sa volonté elle le ferait.

- Pourquoi suis-je là? La plus anarchique de vos divins druide, faisant satire public des décisions du sommet, ou du moins leur magnifique manière d'agir. La plus jeune dans ce cercle fermé du haut de mon ordre. Peut-être cette progression rapide, ou l'implication sans précédent dans des missions à haut risque d'un membre de mon grade. Je ne puis que répondre, j'ai agis pour l'harmonie de la nature, non pas envers le peuple. Allez-vous me demandez de vous seconder dans une quelconque tâche? Je ne peut en savoir plus, mes pouvoirs de prédilection s'arrêtant dans les précisions. Ma dernière lecture datant un peu à l'heure peut-être est-ce tout simplement pour me renvoyer à des tâches ingrates dut à mes actes à l'encontre d'un ordre de l'armée sur cette ténébreuse tour dans la partie Est de la forêt. Ordre demandant explicitement de n'agir d'aucune manière direct sur ce bâtiment alors que je l'ai tout bonnement détruit: Échec m'a ton dit, mais de ce que j'ai vu il n'y avait que cela à faire. Je pourrais trouver d'autre raison, il y en a tellement, comme si j'avais fait tout pour avoir cette convocation, alors que je n'ai agie que par instinct, comme les animaux que je côtoie.

Elle laissa un silence après ce long discours trop franc, les gardes sur chaque côté de la reine se regardèrent discrètement, montrant clairement qu'il étaient troublé par de telle paroles, fait rare dans ce pays que de voir des elfes montrer un tel sentiment de manière aussi clair, cela fit presque sourire Altrearosa.

- Vous excuserez ma franchise ma Dame, je ne faisait que répondre.

Elle était toujours prosterné devant sa dirigeante, un genoux à terre à la guerrière plutôt que comme une dame de la cour devrait faire, d'éducation noble mais guerrière avant tout.

Malyssia regarda autours d'elle les gardes qui semblait ne pas comprendre tout ce que la jeune femme devant elle leur avait dit... Malyssia sourit et tourna de nouveau vers la femme.

"Et bien vous avez une partie de la réponse..."

Malyssia se leva doucement de son siège... La tristesse d'avoir perdu son tendre amour l'avait surment affaiblit un peu, mais elle rattraperait vite ce peu point...

"Comme vous devez avoir entendu parler, je n'ai plus personne à la tête de mon armée... L'homme magnifique qui était a cette tête a ... Disparut... Enfin pour le moment jespere..."

La belle et jeune femme approcha doucement de l'autre.

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L'elfe face vers le sol sourit légèrement, espérant en partit ne pas avoir été vu, elle avait donc vu juste dans sa première hypothèse.

- Votre honorable mari fut comme un frère pour moi, j'ai vécut mon enfance auprès de lui comme membre de sang alors que je n'étais rien pour sa lignée. Un grand guerrier mais se hâtant trop dans ses décisions, trait de caractère qui lui valut la couronne mais qui j'en ai bien peur lui a coûté la tête. Si je comprend bien vous me demandez de le remplacer à la tête de l'armée. Une décision bien stratégique pour vous, je suis druide et vous doit par conséquent obéissance, en me mettant à la tête de votre bras armée vous en prenez le contrôle par la même occasion. Dois-je voir cela comme un fleur qui fane dès le moindre contact?

Malyssia s'rrêta net... Parler de son "mari" lui faisait toujours quelque chose. Surtout que ce qu'elle venait de lui dire bloquait complètement sa respiration... rien ne lui avait couter la tête rien! Personne ne l'avait vut depuis un long moment et c'était tout...

"Je ne tant jamais de fleur fanner...De plus celui que j'ai épouser... Doit toujours être en vie... "

Malyssia perdit son regard par l'une des fenêtre non loin d'elle... L'aire pensive comme très souvent.

"Jamais je ne le laisserais partir vous savez... Je l'aimait réellement... De plus je savait que vous étiez proche ..."

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Cela avait semblait faire réagir la reine, elle ne pouvait en être sûr autrement que par ce changement de ton ne pouvant la regarder en face dans un rapport d'égalité malgré que le parole le soit.

- Votre époux, le roi, est suffisamment débrouillard pour ne pas se laisse mourir sans faire parler de lui dans les royaumes. Si aucune nouvelle de lui n'est parvenu c'est que rien ne lui est arrivé.

Elle laissa un silence, pour laisser le temps à la reine de reprendre pleine possession de son esprit avant de poursuivre.

- De cet arbre, si fort il est et robuste face aux assauts du temps je ne pourrais qu'accepter, en attendant que votre amant revienne prendre place sur son siège.

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