Obeserver ou bien être observé?

Yori marchait lentement dans les rues qu’elle connaissait très bien. Le vent chaud soufflait sur son visage, montrant ainsi ses traits plus clairement. Le soleil était à son zénith, mais cela lui importait peu. Une fois de plus elle ajusta le col de son manteau et posa ensuite sa main sur le pommeau de son arme. Les gens la regardaient étrangement comme si une femme n’avait pas le droit de se fringuer de la sorte. Ses yeux ne fixait pas un endroit en particulier, ils se posaient de temps en temps sur quelque chose, puis changeaient. Elle se racla un peu la gorge avant de s’enfoncer dans une ruelle, fuyant d’une certaine manière les regards trop persistants. Au bout de cette ruelle c’était un cul de sac, pas trop difficile de passer ça. Elle se donna un élan et sauta d’un mur à l’autre pour arriver de justesse sur un des deux toits. La jeune femme sortit rapidement son arme et la planta dans le toit et s’en aida pour se retrouver sur ses deux pieds. La vue était plus belle en hauteur et peu de gens allaient remarquer qu’une personne observait de là. Iwakura s’approcha du bord et regarda en bas, ils avaient tous l’air de fourmis qu’on pouvait écraser du pied. Le soleil frappait un peu dans son dos, faisant apparaître au sol, une ombre qui ressemblait à celle d’un homme. Les gens qui portaient attention à cette chose levaient les yeux en direction de Yori. Cela fit un peu sourire cette dernière, elle tendit sa main vers son arme et tira un coup sec, puis le rangea dans son étui.

* C’est toujours aussi monotone ici. Faut avouer qu’ils ne se prennent pas trop la tête avec l’alliance des ténèbres…*

Elle s’assit sur le bord du toit et laissa pendre ses pieds dans le vide. Son ombre sembla se replier sur elle-même couvrant ainsi moins de surface, mais attirait toujours les regards, sinon plus. C’est là qu’elle sentit un regard qui lui déplu, un regard qui essaye de vous percer un peu à jour, mais qui vous regard sans vraiment vous voir. La jeune femme baissa les yeux et croisa celui de la personne… Ce n’était pas assez pour voir les traits, mais du moins en avait une bonne idée.

Les raisons qui avaient attiré la jeune femme en ces lieux était mystérieuses même pour elle...Elle avait simplement suivit ces pas, après tout, même si l'on ne peut faire confiance à personnne, nos pieds peuvent toujours nous guider.... Elle avait prit la précaution d'enfiler une cape de voyage afin de dissimuler ses grandes ailes immaculées seuls ses cheveux noirs se présentant au soleil... En fait, ainsi, elle ressemblait à n'importe quelle humaine puisque nul ne pouvait devnier qu'elle avait des ailes.. Cependant, ses vêtements plus légers, frabriqués avec les tissus légers du peuple angélique tels que le satin ou le lin, troublait légèrement les gens qu'elle croisait... Du moins quelques uns... Elle continuait néammoins de marcher dans une direction que seuls ses pieds pouvaient connaître et qu'elle ne se souciait nullement de savoir... Le soleil réchauffait ses cheveux sombres et le vent fisait danser le bas de sa cape de voyage...

Elle pénétra dans un endroit plus c alme, une petite ruelle entre deux maisonnées et ferma les yeux, profitant du soleil, du sable et du vent, des brutis du marché, des cris des hommes et des enfants jouant entre les étales de fruits et de tapis... Elle s'était adossée au mur de brique d'un miason plutôt âgée et lorsqu'elle réouvrit, les yeux, une ombre masculine se dessina sur el sol devant elle...Savirnael s'éloigna doucement du bord du mur et lev a les eyux comme quelques curieux qui retournaient rapidement à leurs occupations...La cpe de l'Ange claqua au vent lorsqu'elle s'entrouvrit, permettant à la jeuen femme de se planter devant l,étrangère.. Ses pieds flottaient en l'air, comme tout son corps, ses ailes cahcées sous sa cape, elle sembalit suspendue à un fil, comme une poupée ou un pantin d'enfant à qui on aurait donné la vie...Sa voix se fit légèrement plus froide qu'à l'habitude.. Ce n'était pas qu'elle n'aimait pas les humains ou qu'elle ne leur faisait pas confiance mais pour elle, on ne pouvait être trop prudent....

-Alors la vue est si belle d'ici?